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Δευτέρα, Απριλίου 07, 2014

Russian diplomats face NATO HQ restrictions

BRUSSELS. -NATO has decided to limit access to its Brussels headquarters to Russian diplomats from Tuesday.
“The formerly extensive access to NATO headquarters will be denied to all representatives of the Russian Mission, except the Russian Ambassador, his Deputy Head of Mission, and two support staff”, according to a NATO official statement on Monday.
The Alliance said that other staff from the Russian mission requiring access for official business would have to be announced, registered and escorted during their visit.

NATO has defended the move, saying it still gives Russian diplomats a level of access to its HQ which has never been reciprocated by any Russian ministry or institution to NATO staff working in Moscow.
  • This measure follows NATO ministers’ decision on April 1 to suspend all practical cooperation with Russia, civilian and military, as a consequence of Moscow’s military intervention in Ukraine. 
  • The move comes as NATO and the European Union said they would “closely watch” Ukraine after pro-Moscow activists took over government buildings in Donetsk in the east of the country, demanding a Crimea-style referendum on joining the Russian Federation. 
  • A spokesperson for the EU's top diplomat, Catherine Ashton, on Monday underlined the independence and territorial integrity of Ukraine, repeating the EU’s support of the government in Kiev.
  • NATO army officials stated Monday they had not observed any distinct change in the position of Russian forces near Ukraine’s eastern border. 
Russia unilaterally annexed Ukraine's Crimea peninsula after taking control of the region on February 26-27 when gunmen, believed to be Russian special forces, seized the regional parliament and Simferopol's airport.
In a controversial referendum held on March 16, Crimea voted to secede from Kiev in favor of unification with Moscow.
Russian President Vladimir Putin signed into law a bill that officially incorporated Crimea into the Russian Federation on March 21.
[aa.com.tr]
7/4/14

Κυριακή, Ιανουαρίου 13, 2013

Les Cubains autorisés à voyager hors de leur île

La direction communiste s'apprête à assouplir les restrictions qui pèsent depuis un demi-siècle sur la population de l'île. Comme tout Cubain, la vendeuse de cacahuètes de la rue Respublica à Camaguey n'a qu'un mot à la bouche: «Voyager.» Cette mulâtresse qui rêve d'ailleurs apostrophe un client. «Désormais, avec un passeport cubain, tu vas pouvoir voyager partout dans le monde», insiste-t-elle. «Et le visa?», questionne son vis-à-vis. «Un simple papier. Un détail», répond-elle.
Les Cubains vibrent pour une nouvelle révolution, celle du voyage. Elle a été annoncée en octobre par le Granma, l'organe officiel du Parti communiste cubain. Avec un titre: «Cuba actualise sa politique migratoire».
À compter de ce lundi 14 janvier, les autorités suppriment la demande de permis de sortie du territoire ainsi que la lettre d'invitation remplie par un étranger qui étaient nécessaires jusqu'ici pour sortir du pays. Un passeport et un visa délivré par le pays de destination suffiront. Les voyageurs pourront quitter l'île pendant deux ans renouvelables au lieu de onze mois actuellement, et conserver la résidence cubaine. La perte de cette dernière entraînait la confiscation de sa maison.
Après la politique d'ouverture économique de Raul Castro, l'annonce était attendue. «J'aimerais partir en Italie, au Canada ou à Miami», conte Yaimara, 23 ans. L'étudiante précise: «Je vais abandonner ma dernière année de maîtrise en éducation. Si je suis diplômée, je devrais effectuer deux années de service social avant de pouvoir partir.» Elle roule des yeux: «Le principal est que je trouve maintenant un yuma(“étranger”) qui paiera mon voyage», dit-elle. À l'instar des personnages du roman de Wendy Guerra, Tout le monde s'en va, la jeunesse veut partir. «Vous pouvez venir à Cuba sans restrictions. Moi aussi, je veux aller dans votre pays», dit Osmany, jeune sculpteur.
Les quadragénaires se montrent plus méfiants. «Il faut attendre pour voir qui va pouvoir sortir et comment. Notre peso convertible ne vaut rien à l'étranger. Comment est-ce que je vais vivre à Rome ou à Toronto si on n'accepte pas mon argent?», se questionne Roberto, commerçant. Les agences de voyages sont peu nombreuses et le prix d'un vol pour les États-Unis atteint deux années du salaire d'un ingénieur. Si les jeunes veulent quitter le pays pour de bon, les plus âgés préfèrent un aller-retour. Marisbel et Vladimir iront enfin voir leur fils qui habite New York depuis douze ans. «Juste pour un mois puis nous reviendrons. Notre commerce nous permet de bien vivre. Ce ne serait pas si facile aux États-Unis», dit Vladimir, propriétaire d'un gîte.

Vague d'émigration massive

Le secrétaire du Conseil d'État, Homero Acosta, a assuré: «Cuba ne cherche aucun certificat de bonne conduite avec ces changements.» Si, pendant des décennies, les émigrants ont été considérés comme des traîtres à la patrie et traités de «vers» par le gouvernement, Acosta tempère: «On est passé de l'émigration d'individus, dont les motifs étaient politiques, à une émigration liée à des déterminants économiques.»
La décision des autorités est pragmatique: l'envoi d'argent de l'étranger aux familles constitue, avec le tourisme, la principale source de revenus de Cuba. Une vague d'émigration massive augmenterait ces entrées d'argent. Au demeurant, les difficultés administratives pour quitter l'île n'ont jamais empêché les Cubains de le faire illégalement. Le nombre de balseros(fuyards sur des embarcations de fortune) partis aux États-Unis via le Mexique ou l'Amérique centrale a fortement augmenté ces dernières années.
La fin des autorisations de sortie du territoire va provoquer un afflux de demandeurs de visas dans les missions diplomatiques. «Il faudra qu'ils obtiennent ces visas des ambassades étrangères pour sortir et ce n'est pas gagné», confiait il y a peu un diplomate occidental, avant d'ajouter: «Certaines choses ne changeront pas. Nous ne délivrerons pas de visa à une jeune fille de 20 ans qui veut vivre avec son fiancé étranger de 70 ans.»
Si la nouvelle mesure génère un exode, les autorités auront toujours la possibilité de refuser la délivrance d'un passeport pour des raisons politiques. Le Granma a déjà prévenu qu'il n'y aurait pas de fuite des cerveaux: «Les mesures destinées à préserver le capital humain créé par la révolution seront maintenues, face au vol de talents auquel se livrent les puissants.»Une intransigeance qui provoque la grogne des intellectuels. Hilda, ingénieur, s'indigne: «Dans ce pays, ce sont toujours ceux qui ont fait de longues études qui sont le moins bien traités. Je n'aurai pas le droit de partir.» Les nouvelles mesures ne signifient pas la fin des balseros, mais elles vont alimenter la plus forte émigration légale depuis 1958. Aux yeux de La Havane, Washington portera la responsabilité des refus de visas, comme des naufrages des balseros qui en découlent.
.lefigaro.fr
13/1/13

Οι νεκροί Έλληνες στα μακεδονικά χώματα σάς κοιτούν με οργή

«Παριστάνετε τα "καλά παιδιά" ελπίζοντας στη στήριξη του διεθνή παράγοντα για να παραμείνετε στην εξουσία», ήταν η κατηγορία πο...